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Nos Auteurs

Jean Sévillia

Jean Sévillia est né le 14 septembre 1952 à Paris. Il est marié, père de six enfants, et à ce jour sept fois grand-père.

Journaliste
En 1978, à l’issue de ses études à la Sorbonne (maîtrise de lettres) et de son service militaire, Jean Sévillia choisit la voie du journalisme. En 1981, il entre au Figaro Magazine, intégrant une rédaction dont il est aujourd’hui une des plus anciennes signatures. Rédacteur en chef adjoint au sein de cet hebdomadaire, il est notamment chargé de la rubrique Idées et Histoire.
Parallèlement, il collabore épisodiquement au Figaro Hors-Série, au Spectacle du Monde, à L’Homme nouveau, à la Nef et à Politique Magazine. En 1992, il a été cofondateur et directeur de la rédaction de Vu de France, bimensuel qui parut jusqu’en 1994.

Ecrivain
Le premier livre de Jean Sévillia, Le Chouan du Tyrol, est publié en 1991. Après cet ouvrage, il touche un vaste public par trois best-sellers successifs : Zita impératrice courage en 1997 (70 000 exemplaires vendus), Le Terrorisme intellectuel en 2000 (50 000 exemplaires), Historiquement correct en 2003 (120 000 exemplaires). Les livres qui suivent confirment l’enracinement et la fidélité de ses lecteurs : Quand les catholiques étaient hors la loi (2005), Moralement correct (2007), Le Dernier empereur, Charles d'Autriche (2009). Six de ces titres ont été publiés en édition de poche en France. Par ailleurs, Jean Sévillia a été traduit en allemand, en hongrois, en roumain, en espagnol et en portugais.
Jean Sévillia a collaboré à des livres collectifs : Paroles de croyants (Via Romana, 2007), Le Livre noir de la Révolution française (Cerf, 2008), Liquider Mai 68 ? (Presses de la Renaissance, 2008). Il a préfacé plusieurs ouvrages : la traduction de La Vienne d’Hitler, de l’historienne allemande Brigitte Hamann (éditions des Syrtes, 2001), un essai de Rachid Kaci, La République des lâches (éditions des Syrtes, 2003), un roman historique de François Cahen, 1918, forteresses (éditions Jean-Paul Bayol, 2009).
Jean Sévillia a également validé la bande dessinée consacrée au dernier empereur d’Autriche : Charles Ier, l’Empereur de la paix, texte de Marc Bourgne, dessins de Marcel Uderzo, Fleurus BD Land, 2007.

Conférencier
Après la parution de chacun de ses livres, Jean Sévillia s'attache à rencontrer ses lecteurs par des tournées de conférences. Au cours des dix dernières années, il a ainsi prononcé 190 conférences publiques : 100 en région parisienne, 80 en province, 2 outre-mer et 8 à l’étranger (Autriche, Belgique, Espagne, Luxembourg, Suisse).

A titre indicatif, en 2003 et 2004, les 42 conférences organisées à l'occasion de la sortie d’Historiquement correct ont attiré un auditoire total de près de 6000 personnes ; en 2009 et 2010, après la parution du Dernier empereur, les 30 conférences sur Charles d’Autriche ont réuni une assistance cumulée de 3500 auditeurs.

Critique littéraire
Depuis 2003, Jean Sévillia appartient au jury des prix littéraires Charles Oulmont-Fondation de France, que préside Philippe de Saint Robert. Ces prix récompensent chaque année un roman et un essai.
En 2004, il a été coopté au jury du Prix Hugues-Capet, prix qu’il avait obtenu en 1997 pour Zita impératrice courage. Ce prix, fondé en 1994 par Jacques-Henri Auclair, présidé jusqu’à sa mort par la comtesse de Paris, aujourd’hui présidé par la princesse Béatrice de Bourbon-Siciles, distingue une biographie royale. De septembre 2006 à janvier 2009, Jean Sévillia a présidé le Prix du Livre incorrect, dont il était cofondateur et dont il s'est ensuite retiré.

En octobre 2009, il a créé le Prix des Impertinents, qu’il préside, et qui récompense un ouvrage s’inscrivant à contre-courant de la pensée unique. Le jury du Prix des Impertinents réunit Jean Clair (de l'Académie française), Chantal Delsol (de l'Institut), Christian Authier, Bruno de Cessole, Louis Daufresne, Paul-François Paoli, Jean Sévillia (président), Rémi Soulié (secrétaire général du prix), François Taillandier et Eric Zemmour. Ce prix est soutenu par la brasserie Montparnasse 1900.

Pour la mémoire de l'impératrice Zita
Depuis 2009, Jean Sévillia est président de l’Association pour la Béatification de l’Impératrice Zita. En 2008, la Congrégation des causes des saints, au Vatican, a autorisé l'ouverture du procès de béatification de la dernière impératrice d’Autriche et reine de Hongrie, dont le mari, l’empereur Charles Ier, a été béatifié par Jean-Paul II en 2004. La procédure se déroule dans le diocèse du Mans, où se trouve l'abbaye de Solesmes, qui était le centre spirituel de la souveraine.

Ami de l’Autriche
Jean Sévillia entretient un lien affectif particulier avec l’Autriche, pays où, à titre personnel ou professionnel, il a effectué plus d'une soixantaine de séjours. Outre de nombreux reportages publiés dans le Figaro Magazine, trois de ses livres sont des biographies consacrées à des personnages de l’histoire autrichienne.

Jean Sévillia est titulaire du Grand Ordre de l’Aigle du Tyrol (Grosser Tiroler Adler-Orden), qui lui a été décerné à Innsbruck, en 1991, par le gouverneur du Tyrol, et de l’Insigne d’Honneur de la République d’Autriche (Silbernes Ehrenzeichen für Verdienste um die Republik Österreich), qui lui a été remis, en 1997, par l’ambassadeur d’Autriche à Paris.


Ses livres
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